Tour code : VERDUN TOUR EN FRANCAIS VIP
Tour en Français
WW1 Champs de Batailles de Verdun depuis Paris en Minivan (2 à 7 voyageurs)
La Voie Sacrée, le Fort Douamont, la Nécropole Militaire Nationale et L'Ossuaire de Douamont, le Monument de la Victoire et aux soldats de Verdun, la Tranchée des baïonnette, le Musée Mémorial de Verdun.
Une journée depuis Paris pour visiter les champs de batailles de Verdun 1916-1917
Voyagez avec votre propre groupe (Maximum 7 voyageurs) à bord d'un minivan confortable et climatisé
- Information
- Tour Description
- Location
- Gallery
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TARIFS
- 2 participants = 700 € (350 € par voyageur)
- 3 participants = 900 € (300 € par voyageur)
- 4 participants = 1040 € (260 € par voyageur)
- 5 participants = 930 € (230 € par voyageur)
- 6 participants = 1038 € (1260 € par voyageur)
- 7 participants = 1365 € (195 € par voyageur)
A NE PAS MANQUER
• Voyagez avec votre propre groupe (7 participants maximum) et embarquez avec votre Chauffeur et guide “Régis” à bord d’un Minivan confortable et climatisé.
• Dans les collines et villages autours de Verdun, les cicatrices des batailles de 1916 et 1917 (trous d’obus, villages détruits, tranchées et casemates en bétons) sont toujours visibles et vous plongeront dans l’enfer des combats.
• Découvrez cet impressionnant ouvrage fortifié du 19ème siècle “Le fort de Douamont” abritant toujours son canon rétractable de 155mm sous coupole blindée, puis marchez dans les galleries souterraines du fort
• Rendez hommage aux 140000 soldats Français tombés sur les collines autours de Verdun en 1916 en visitant la Nécropole Militaire Nationale et l’ossuaire de Douamont.
•Le temps d’un déjeuner vous apprécierez cette charmante petite ville de Verdun séparée en 2 rives par la rivière Meuse et surmontée de sa magnifique Cathédrale du Xe siècle.
• La nouvelle scénographie du Musée Mémorial de Verdun évoque la violence de la bataille, avec les convulsions d’une terre assaillie par le feu des obus. Les camions et les canons de la Voie sacrée rappellent, dans le bruit des moteurs et l’animation des images d’archives, ce que fut la logistique de cette gigantesque bataille.
• Baignée de lumière la terrasse du Musée s’ouvre sur l’environnement du Mémorial permettant aux visiteurs de découvrir le panorama du champ de bataille.
LE PRIX INCLUS
- Tour privé
- Prise en charge des clients sur leur lieu de résidence sur Paris et R.P
- Voyagez à bord d’un Minivan confortable et climatisé (Maximum 7 voyageurs)
- Chauffeur/guide (en français pour ce tour)
- Billets d’entrée au Fort de Douamont
- Billets d’entrée au Musée Mémorial de Verdun Champ de Bataille
LE PRIX N' INCLUS PAS
- Le Déjeuner au restaurant
- Les Boissons
- Prise en Charge
- Introduction
- STOP 1 - LA VOIE SACREE (15 mn)
- STOP 2 - LA PORTE CHAUSSÉE DE VERDUN (10 MN)
- STOP 3 - LE MONUMENT AUX MORTS ET AUX ENFANTS DE VERDUN (05 MN)
- STOP 4 - OSSUAIRE DE DOUAMONT (40 mn)
- STOP 5 - LE FORT DE DOUAMONT (01 HEURE)
- STOP 6 - PC DU COLONEL DRIANT AU BOIS DES CAURES (20 MN)
- STOP 7 - LA TRANCHEE DES Baïonnettes (15 MN)
- STOP 8 - DEJEUNER A VERDUN (01 HEURE)
- STOP 9 - MUSEE MEMORIAL DE VERDUN (01 HEURE)
- STOP 10 - RETOUR A PARIS ET DEPOSE A VOTRE LIEU DE RESIDENCE
Le Chauffeur/ guide "Régis" viendra vous chercher tôt le matin (06h30) sur votre lieu de résidence à Paris ou R.P (Départements 75,77,91,92)
Vous voyagerez avec votre propre groupe (7 voyageurs maximum) jusqu'à Verdun à bord d'un Minivan climatisé et confortable.
Cette journée de souvernir à VERDUN dans le département de la Meuse vous embarquera sur les traces de ces braves soldats français qui ont combattus héroiquement durant 300 jours l'offenssive allemande conçue par le général allemand Erich von Falkenhayn entre Février et Décembre 1916
La bataille de Verdun en 1916 est une offensive de l'armée allemande et qui s'est déroulée en Lorraine durant la première guerre mondiale. Au petit matin du 21 février 1916, à Verdun, dans la Meuse, l'armée allemande fait feu, selon le plan de l'officier prussien Falkenhayn. Les premiers obus tombent sur des endroits stratégiques de Verdun, tels que la gare de la ville ou la cour du palais épiscopal. L'objectif pour l'Allemagne est de récupérer les forts et les tranchées de Verdun.
Les Poilus résistent dans un premier temps et le commandant Philippe Pétain organise rapidement la riposte. Celui-ci fait venir des renforts par la route de Bar-le-Duc que l'on surnomme « La voie sacrée ». Le 25 février, le fort de Douaumont est attaqué puis occupé par l'adversaire. Il ne sera repris qu'au mois d'octobre, grâce à la contre-offensive mise en œuvre par le Général Nivelle.
Cette visite sera l’occasion de voir par vous-même les cicatrices de la guerre laissées sur le lanscape dans les régions de la Meuse et de l’Argonne de février 1916 à l’Armistice de la guerre en novembre 1918.
Dans la matinée, le tour commencera sur une route juste à la périphérie de Verdun. Le chauffeur conduira le long de la célèbre « voie sacrée » qui a permis aux troupes françaises de tenir la ville en recevant des fournitures et des renforts pendant les 300 jours du siège de février à décembre 1916 en reliant la Ville de Bar-Le-Duc à Verdun.
En arrivant dans la ville de Verdun, profitez d’un arrêt photo devant la plus ancienne porte de la ville « la Porte Chaussée » construite en 1380 le long de la Meuse qui serpente à travers la ville.
C’était l’une des trois portes monumentales du Grand Rempart de Verdun. Redessinée en 1690, elle servit de prison militaire à l’État de 1755 à 1860.
construit en 1928, le « Monument aux morts et aux enfants de Verdun » représente les cinq corps d’armée français engagés dans la bataille de 1916.
De gauche à droite, on distingue : un cavalier, un sapeur de l’Ingénieur, un soldat de l’Infanterie, aussi appelé « Poilu », un artilleur et un soldat du Territoire. Ces cinq soldats forment un mur symbolisant la devise de Verdun : «Nous ne passons pas».
En quittant la ville de Verdun, à seulement 5mn en voiture, vous plongerez directement au cœur du champ de bataille et découvrirez les principaux points forts tels que « l’ossuaire de Douaumont » et Lle « Fort de Douamont » qui témoignent de l’énorme quantité de pertes humaines et des souffrances des soldats pendant la grande guerre.
L’ossuaire de Douamont est un mémorial contenant les restes des soldats français et allemands morts sur le champ de bataille de Verdun. À travers de petites fenêtres extérieures, on peut voir les restes squelettiques d’au moins 130 000 combattants non identifiés des deux nations remplir des alcôves au bord inférieur du bâtiment.
À l’intérieur de l’ossuaire, le plafond et les murs sont partiellement recouverts de plaques portant le nom de soldats français morts pendant la bataille de Verdun. Il a été construit à l’initiative de Charles Ginisty, évêque de Verdun. Il a été désigné "nécropole nationale", ou "cimetière national".
Le Fort de Douaumont était le plus grand et le plus haut fort sur une couronne de 19 grands ouvrages défensifs qui avaient été bâtis afin de protéger la ville de Verdun depuis les années 1890.
En 1915, l’état-major français avait conclu que même les forts les mieux protégés de Verdun ne pouvaient résister aux bombardements des canons gamma allemands de 420 mm.
Le fort, occupé par une soixantaine de soldats français, est pris sans combat par les Allemands le 25 février 1916, quatre jours après le début de la bataille de Verdun. Cet événement est alors célébré comme une grande victoire en Allemagne. Elle sera occupée pendant 8 mois par l’armée allemande, ce qui en fera un abri pour ses troupes et un point de soutien essentiel sur la rive droite de la Meuse pour poursuivre son offensive.
Malgré plusieurs tentatives de reconquête, le fort ne sera repris que le 24 octobre 1916 par les troupes coloniales françaises (le régiment d’infanterie coloniale du Maroc et le 43e bataillon de tirailleurs sénégalais).
Le général français Pétain a déclaré qu’il a coûté la vie à 100000 soldats français pour reprendre Fort Douamont !
Le 21 février, le bois des Caures est défendu en première ligne par le 59ème bataillon de chasseurs à pied et le 56ème bataillon de chasseurs à pied en seconde ligne, soit environ 1 200 hommes, sous le commandement du lieutenant-colonel Émile Driant. À partir de 7 h 30, le bois et toute la ligne de front sont soumis à un bombardement particulièrement intense, jusqu'à 16 h. On estime qu'environ 80 000 obus sont déversés sur le bois.
Les vestiges en béton de l'ancien poste de Commandement du Lt Colonel Driant dans le Bois des Caures et de son régiment de chasseurs à pied, qui furent les premiers à subir le choc de l'attaque allemande, le 21 février 1916 sont toujours visible de nos jours.
Le 22 février, les Allemands bombardent à nouveau la position, puis attaquent en force, emportant l'un après l'autre les postes et les abris. Driant brûle ses documents et évacue son poste de commandement. Il est tué peu après.
Au cours de ces combats les chasseurs des deux bataillons perdent 90 % de leurs effectifs, leur résistance a cependant retardé de façon décisive la progression allemande. Elle a également permis aux renforts français d'arriver à temps pour éviter la percée vers Verdun. Ces combats marquent le début de la bataille de Verdun qui durera jusqu'en octobre 1916.
La tranchée des baïonnettes est un monument commémoratif de la bataille de Verdun en 1916. Le site est classé monument historique en 1922 et reconnu en tant que haut-lieu de la mémoire nationale en mars 2014. Il est situé sur le ban communal de Douaumont-Vaux (Meuse). Il constitue l'un des mythes de la Première Guerre mondiale, avec le Debout les morts ! de Péricard.
Le récit le plus répandu concernant la tranchée des baïonnettes veut que, au mois de juin 1916, des soldats se préparant à l’offensive aient été recouverts par des vagues de terre provenant de l’impact des obus tombant tout autour de leur tranchée. Les fusils à baïonnette dépassant du sol témoigneraient de cet événement, leurs propriétaires ayant été ensevelis les armes à la main.
Impressionné par ce récit, un riche banquier américain, Georges T. Rand, fit don de 500 000 FRF pour construire un mémorial à l’emplacement de ce qui a commencé par être nommé « Tranchée des fusils ». En décembre 1920, le président de la République, Alexandre Millerand, se rendit au bois Morchée, sur le territoire de la commune de Douaumont (Meuse), afin d’inaugurer le mémorial de ce qu’on appellera désormais la « Tranchée des baïonnettes ».
De retour dans la charmante ville de verdun, votre guide Régis vous recommandera plusieurs restaurants pour y déjeuner et éventuellement flâner dans les ruelles adjacentes.
Pour terminer cette journée très émouvante, vous visiterez le « Musée Mémorial de Verdun » à Fleury-devant-Douaumont.
Le parcours du nouveau Mémorial place le visiteur au cœur du champ de bataille. Le rez-de-chaussée est dédié à l’expérience des combattants en première ligne et au premier étage, les visiteurs entrent dans l’environnement de la bataille et les contextes des pays en guerre.
Le nouveau Mémorial renaît en février 2016. Les travaux menés durant plus de deux années apportent une force nouvelle à l’édifice d’origine, tout en l’ouvrant vers l’extérieur avec :
– l’aménagement d’un étage supplémentaire de plus de 600 m² qui couvre le bâtiment. Il abrite un espace interactif, une salle d’expositions temporaires de 175 m², le centre de documentation, la salle pédagogique, un espace de détente ainsi que deux terrasses en belvédère sur le champ de bataille.
Pendant le trajet de retour vers Paris, vous aurez le temps de vous détendre à bord du minivan avant d’être déposé à votre lieu de résidence en soirée (entre 20h30 et 21h00).